Tourisme et lieux culturels émergents

Quelles solutions proposer pour répondre à la difficile question : comment rajeunir les offres du tourisme culturel traditionnel? Car le tourisme culturel a établi depuis plusieurs décennies des  routes historiques toutes tracées, où l’on chemine les yeux fermés : un parcours avec église romane/château fort/ musée ou centre-ville historique. Ces lieux de visite classiqeus sont bien fréquentés et es professionnels du tourisme ont donc un peu peur de «perdre» ces fidèles marcheurs, fans de patrimoine et de GPS, pour investir du temps et des moyens financiers et humains dans de nouvelles expériences! Toute nouveauté présente un danger – faire fuir les visiteurs traditionnels- et représente un « risque », celui de ne pas répondre à l’expérience-visiteur au sens large : Avant, pendant et après la visite. Enfin, derière petite angoisse de ces pros : une offre nouvelle, c’est bien, mais dans quel environnement ? Y aura-t-il des hébergements, des transports, de la restauration à proximité de ces nouveaux lieux, et des services qui conviendront à de  nouveaux visiteurs, pour qu’ils reviennent et qu’une  nouvelle destination touristique et culturelle  voit le jour ?(Ci- dessus, la Custard Factory, Birmingham, UK).
-Enfin, hésiter à diversifier le tourisme culturel classique était normal quand, il y a plus de deux siècles, l’Europe était LE seul continent à découvrir, pour son passé monumental, en particulier.
Aujourd’hui, d’autres expériences sont plus attrayantes, en particulier pour les jeunes ou les touristes déçus par des offres trop formatées ou trop semblables du tourisme culturel européen. Par exemple, les Expériences d’Airbnb proposent de partager un Safari Photo « Monuments » avec un professionnel, de participer à un atelier-cuisine avec une Chef ou de tourner une vidéo avec un réalisateur, à partir d’un scénario et avec un drone. Autres temps, autres mœurs…
I- POURQUOI DE NOUVELLES EXPÉRIENCES CULTURELLES ?
Comme certains grands parcours de l’art contemporain (Estuaire, Nantes, depuis 2007 ou l’ île de Naoshima au Japon ), ces nouveaux lieux artistiques lieux peuvent devenir une destination grâce à leur diversité (Architecture industrielle réhabilitée ; activités théâtrales, musicales ou Images ; rencontres avec des artistes en résidence…) ou un très bon complément « culturel » à une visite touristique classique (Tourisme de Loisirs, ou Sportif, Court –séjour et même « moment de découverte » d’une classique visite du Tourisme d’Affaire).
– Pour le Tourisme, ces lieux apportent à la culture ce « lien avec les habitants et leur environnement,  tant recherché par les touristes culturels internationaux. Or ces nouveaux lieux culturels émergents sont très accueillants, vous y êtes bien (Ah ! le 104 à Paris !), vous pouvez vous y reposer, y manger (Notre photo du Magasin Général du Darwin Ecosystème, Bordeaux)) . Le tourisme urbain s’est déjà emparé de ces offres, conçues vraiment pour les habitants,  e presque tous nscrits dans l’économie sociale et solidaire (ESS). Ces nouveaux lieux culturels n’ont certes pas été prévus pour accueillir des touristes, mais, encore une fois, ils sont souvent mille fois plus accueillants que les lieux traditionnels de la culture (Musées,monuments ou salles de concerts). A Bordeaux, ville qui a su créer un « nouveau tourisme culturel », avec la Cité du Vin, le Darwin Ecosystème, parfait exemple de « nouveau lieu émergent, est en excellente position dans l’offre touristique. A voir ICI ! (Et notre photo ci-dessus).

I- LES LIEUX CULTURELS ÉMERGENTS, Kesaco ?
Cassandre Jolivet vient d’ écrire une passionnante étude sur ces nouveaux lieux de l’art, étude intitulée “LIEUX CULTURELS INTERMÉDIAIRES : ESPOIRS ET LIMITES D’UN ENGOUEMENT COLLECTIF” et
publiée par Cassandre Jolivet le  7 Mai 2018 avec les articleslistés ci-dessous. Auteure d’une thèse professionnelle, à la Burgundy School of Business de Dijon, sur les espaces culturels émergents, autrement appelés « espaces culturels intermédiaires », Cassandre Jolivet  souligne l’intérêt de tels lieux pour les territoires et combat certains préjugés, comme par exemple le fait qu’ils n’y en aurait pas en milieu rural. Pour Lire les six volets de l’étude en ligne :
1/6 – Comment appréhender les espaces culturels émergents ?publié le 26 mars 2018.
2/6 – Lieux intermédiaires et lieux traditionnels, quelles différences ?publié le 3 avril 2018.
3/6 – L’économie sociale et solidaire au cœur du projet des lieux culturels émergents
4/6 – Lieux culturels émergents et pouvoirs publics : une relation à plusieurs facettes,  publié le 16 avril 2018 :
5/6 – Lieux culturels émergents : arts des villes et arts des champs , article publié le 23 avril 2018
6/6 – Les tiers-lieux culturels, outils de la gentrification malgré eux ?, publié le 30 Avr, 2018 
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II- UN PETIT RESUMÉ, pour vous donner envie de découvrir ce lieux culturels émergents ?
1- Comment appréhender les espaces émergents ? Dans cette étude, ces espaces sont nommés « lieux culturels intermédiaires », mais on parle aussi de « tiers lieux », « fabriques », « friches », « laboratoires » culturels, ou encore « espaces culturels émergents ». L’absence d’un terme unique pour les identifier montre leur diversité.
Ils évoluent au sein des modèles économiques où « lien social », « échange » et « partage » sont les maîtres mots, et s’inscrivent tous dans l’économie sociale et solidaire. Leur taille, leurs missions sont souvent différentes, come leurs statuts : EPIC, EPCC, association loi 1901, SARL,etc… certains ont été créés par les pouvoirs publics qui les soutiennent, d’autres non.(Notre photo, TransEuropeHalle) 
2- Ce qui les unit, est :
a) une « volonté de rompre avec les institutions traditionnelles, parfois qualifiées d’« élitistes », ressort d’ailleurs dans leurs noms, qui font souvent référence à l’héritage historique du bâtiment – fabrique, friche, abattoirs, gare… – ou à des numéros, en référence aux rues ou usines, une connotation brute et industrielle pour des lieux se voulant accessibles à tous, ouverts, où artistes et visiteurs sont appelés à co-construire. Ce sont des lieux d’ébullition, de laboratoire, où il y a toujours un travail en cours, à l’image du 104 à Paris.
b) Le recyclage d’un ancien bâtiment, mise à disposition d’un lieu unique pour des résidences de création, temps de représentation et initiation des publics aux pratiques artistiques, autour de projets solidement ancrés dans un territoire et son réseau. Avec quelques variantes, certains mettant l’accent sur la création avec un dispositif fort d’accompagnement des artistes, d’autres sur l’entrepreneuriat avec espace de cotravail ou incubateur, d’autres encore sur l’éducation.
c) des objectifs communs : repenser le territoire autour d’une économie locale et d’actions sociales
d) Une diversification des activités, une pluridisciplinarité qui permet un échange entre pratiques. Une nouveauté pour les publics, qui ne vont pas à l’opéra, ni au théâtre, ni au musée, mais qui peuvent assister à une répétition publique, à côté du lieu d’exposition, avant d’écouter un concert, le tout dans un même espace. De même du côté des artistes, toutes les formes d’art sont accueillies, ce qui élargit les possibilités de résidences notamment pour les artistes de cirque et des arts de la rue, plus rarement accueillis par les pôles traditionnels.
e) Devenir très vite des lieux de vie : l’absence de hiérarchie de ces lieux et l’originalité des projets en font des lieux plus attractifs, car ils paraissent plus accessibles. Cet atout est renforcé par la constante ouverture et l’animation de festivals aux thèmes variés : danse, cuisine, arts de rue… Ou encore par la transformation au rythme des événements, comme à la Taverne Gutenberg où les espaces sont repeints à chaque exposition.
f) Ce sont des lieux que les artistes en résidence, logés sur place, font vivre au quotidien. Il s’agit d’un mode de fonctionnement nouveau pour des lieux culturels, en réponse à une demande grandissante.
g) Des lieux ouverts à tous ! Des lieux où il fait bon aller entre amis, en famille, passer l‘après-midi, participer aux animations du jour : cours de sport, marché, spectacles… Cela donne à ces lieux une dimension de divertissement. Ce ne sont pas simplement des lieux artistiques, mais aussi où s’expriment la « culture food », l’« art de vivre », autrement appelé « lifestyle ».
h) Des lieux dans l’air du temps ! Souvent très présents sur les réseaux sociaux, ce sont des lieux « dans l’air du temps », qui suivent également de près le développement du numérique et l’intègrent à leur modèle.

CONCLUSION : inventer le monde de demain, tel est l’objectif de ces nouveaux lieux. Sur le site de l’UFA Fabrik, à Berlin, c’est clair : ce sera au niveau international ! « Fidèle au slogan « connect global-act local », le centre culturel travaille en collaboration avec des partenaires et institutions du monde entier ». Ainsi, le centre culturel s’engage activement depuis sa création, dans des réseaux culturels internationaux: ResArtis,  site de l’organisation de résidences d’artistes ;
–  L’IETM – réseau international des arts du spectacle contemporains -(Notre photo)  est un réseau de plus de 500 organisations et membres individuels du monde entier qui travaillent dans le secteur des arts du spectacle contemporain : le théâtre, la danse, le cirque, les formes artistiques vivantes interdisciplinaires, les nouveaux médias. Le réseau est composé de festivals, compagnies, producteurs, théâtres, centres de recherche et de ressources, universités, et corps institutionnels. – IETM Square Sainctelette 19 – 1000 Bruxelles – Belgique-Tél : +32 2 201 09 15 ietm@ietm.org.
– TransEuropeHalles. Trans Europe Halles (TEH) est un réseau européen de centres culturels initié par des citoyens et des artistes. TEH a été à la pointe de la réorganisation des bâtiments industriels européens pour les arts, la culture et l’activisme depuis 1983. En 2017, TEH a rassemblé près de 90 centres culturels multidisciplinaires et d’autres organisations culturelles de toute l’Europe.

III- POUR EN SAVOIR PLUS
1- UNE ÉTUDE-CLEF ! Understanding the value of arts & culture The AHRC Cultural Value Project Geoffrey Crossick & Patrycja Kaszynska 6 Published by Arts and Humanities Research Council Polaris House, North Star Avenue, Swindon, Wiltshire, SN2 1FL www.ahrc.ac.uk ©Arts and Humanities Research Council 2016 Published March 2016 ET EN LIGNE ICI !

 

 

2- NOS NOMBREUX BILLETS, SUR CE BLOG, sur les Villes  créatives :Vienne, (Autriche) : VIENNE,ville créative!en 2011 ; Le blog de Charles Landry, sur les villes créatives et le travail d’Elsa Vivant notre excellente théoricienne de Creative Cities  7- ELSA VIVANT et la cité créative  (notre photo) et « Les événements off : de la résistance à la mise en scène de la ville créative », Géocarrefour, vol. 82, n°3, 2007, p. 131-140. Enfin, rappelons notre  billet sur l’Écosystème créatif en Ile-de-France. Rappelons que c’est Richard Florida qui théorisa sur les bienfits d’une classe créative mais qui produit aussi une  « gentrification » des lieux sous influence culturelle (Nantes , Lyon ou Paris, Barcecone ou Berlin, et surtout leurs « modèles pionniers», toutes les villes américaines ou anglaises construites sur le modèle des Creative Cities: « En effet, ces nouveaux lieux attirent effectivement une classe créative qui contribue à la création d’un nouveau dynamisme, mais au détriment des habitants d’origine. En apparence le territoire se régénère, mais en réalité la richesse est celle de la classe créative. Les personnes présentes initialement vont alors vers les banlieues ; le problème est plus déplacé qu’effacé, ce qui va à l’encontre des valeurs sociales et solidaires défendues par ces lieux », dit Cassandre Jolivet (Cf. Florida, R., “Cities and the creative class” City and Community, vol.2, 2003, p. 3-19)

3- ET LES TIERS –LIEUX, dans tout cela ? Officiellement, les Tiers Lieux ce sont surtout des lieux numériques : «Le Tiers Lieux » est une « configuration sociale » qui se matérialise le plus souvent par un « lieu physique et/ou numérique » qui va permettre à des « personnes venues d’univers différents » de se rencontrer, se parler et créer ainsi un « 3ème langage » leur permettant de construire des projets (en) « communs ». Par exemple les espaces de coworking, les FabLab, les HackerSpace, les Repair’Café, les jardins partagés et autres habitats partagés ou entreprises ouvertes.
Mais une thèse bien de sortir qui définit des Tiers lieux plus « culturels », lieux de fabriques et de partage, lieux culturels pluridisciplinaires d’émergence de projets collectifs permettant de co-créer et conserver de la valeur sur les territoires. Voir les Tiers lieux ICI,/et leur cartographie mondiale, là.

4- L’ÉTUDE DE CASSANDRE JOLIVET, annoncée par Profession Spectacle, sur son site, ICI.
Adresse : 1, rue du Prieuré – 78100 Saint-Germain-en-Laye
Avec, en ligne, de nombreux articles autour du triptyque : « Arts, droits culturels et ESS »

5- DES FORMATIONS POUR CRÉER UN TIERS-LIEU  Lu,  sur MAKERY, (” Le media de tous les Labs” un site vraiment intéressant):  Tiers-lieu: enquête sur un objet encore bien flou,

  • POUR DES IDÉES DE FORMATEURS, si vous voulez créeer un tiers -lieu ou apprendre à le diriger,  lire l’article sur Makery: Le tiers-lieu peut-il faire école? (2/2),d’Arnaud Idelon24 octobre 2017 : Sinny & Ooko (le Pavillon des Canaux, la Machine du Moulin Rouge, la Recyclerie à Paris, ); l’incubateur Numa et Yes We Camp –  La Halle Papin vue par Yoann Till-Dimet, cofondateur de Soukmachines ; L’architecte Etienne Delprat du collectif YA+K  et le DY, do it yourself!  ou Yoann Duriaux, figure du mouvement à Saint-Etienne.
  • A LIRE AUSSI : 
    Un zeste d’artistes, une pincée de start-ups: l’écosystème créatif des tiers-lieux
    – Antoine Burret, auteur de Tiers-lieux. Et plus si affinités (FYP, 2015),l’ouvrage le plus complet et le plus vendu sur les tiers lieux, fablab et hackerspaces, dit la Com, ici.(15,20€, c’est donné!)-(Photo au dessus de “Squats)- Lire aussi “Les Squats de Cécile Péchu ( Les Squats) .Et enfin, à l’origine de l’expression “Tiers Lieux”, voici  l’ouvrage de Ray Oldenburg, The Great Good Places : Cafes, Coffee Shops, Community Centers, General Stores, Bars, Hangouts, and How They Get You through the Day. Paragon House, 1989.

IV- NOS PHOTOS et quelques liens de nouveaux lieux culturels émergents. 
La Gare à Coulisses est une fabrique artistique de la Drôme dédiée aux arts de la rue, située dans une ancienne friche SNCF et intégrée à l’éco-site du Val de Drôme. L’objectif est de faire se rencontrer différents publics, en proposant des spectacles pour tous et des ateliers.
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– Certains lieux intermédiaires sont d’ailleurs partis d’initiatives temporaires, comme – La Taverne Gutenberg à Lyon
Darwin Ecosystème à Bordeaux. 
l’UFA Fabrik à Berlin, décrite comme une « oasis culturelle et écologique de 18.566 mètres carrés…» dont le programme résume bien en quelques lignes la diversité des objectifs, des activités et des publics accueillis:
pour se divertir et se détendre
… pour des activités et des loisirs destinées aux enfants, aux adolescents et aux adultes
… pour l’engagement social et citoyen
… pour des rencontres internationales et des laboratoires artistiques
… pour des festivals, des congrès, et des évènements culturels
… pour le développement de projets écologiques et la préparation de l’avenir.
… pour des pâtisseries artisanales, des spécialités culinaires dans une ambiance chaleureuse.

  • La Custard Factory de Birmingham au Royaume-Uni ( Notre première photo, tout en haut du billet) est la plus puissante collection d’entreprises créatives et numériques, de détaillants indépendants et de lieux d’événements à l’extérieur de Londres. Avec son projet frère, Fazeley Studios, il constitue le cœur du quartier créatif et numérique de Birmingham. À plus de cinq minutes à pied des arènes, il abrite plus de 500 entreprises et accueille un calendrier régulier de foires, de festivals et de concerts, ainsi que des événements corporatifs et privés et des mariages.
    – Abattoirs à Riom 
    —————————————
    KEN LE TOURISTE PARFAIT avait bien compris que le Grand Paris allait multiplier les innovations en vitesse, pour se préparer aux J.O et rivaliser avec Londres! Le problème, c’est qu’il était à Zurich, en bon touriste « parfait », mobile et toujours très attentif à l’arrivée de Google dans cette ville… « A Paris la Culture, à Zurich le Numérique!“, lui dit sagement son ex, Barbie Chérie, en prenant l’apéro au Clouds où ils s’étaient donné rendez-vous, pour contempler la ville depuis le 35 éme étage les collines environnantes et le lac avec, au loin, les montagnes encore enneigées

5 Commentaires

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  1. Merci Evelyne encore pour cet article ! Je suis justement en train d’analyser ces tendances liant industries culturelles et créatives avec offres touristiques en milieux périurbains, ruraux et insulaires ! De quoi me donner plusieurs exemples ! Un détail: si Richard Florida a théorisé sur les classes créatives émergentes et de l’importance de l’espace attirer, le grand penseur des tendances culturelles et créatives est Greg Richards avec son excellent Tourisme, Creativity and development de 2007! À très bientôt!

    • cristina monti sur 13 mai 2018 à 6 h 25 min

    Bonjour,

    Je vous invite, après lecture de votre excellent papier, à vous rendre sur la page Facebook de l’Institut des Arts du Masque de Limoux, dans l’Aude. @iam-limoux
    Bonne journée à vous.
    Bien cordialement
    Cristina Monti

  2. Un article bien détaillé, qui confirme un secteur en pleine croissance…Dans le Sud-Est, je noterai un “+” pour “Imagesingulières” qui a fêté ses 10 ans, dans la cité de Brassens, (mai 2018) Sète confirme bien être l’alternative de la photo documentaire, entre Arles & Perpignan…Comme quoi, il n’y a pas de frontière géographique dans la culture !

    • françoise fontanier sur 13 décembre 2020 à 23 h 27 min

    Nous créons un lieu culturel sur MOISSAC 82, près de Toulouse (65 km).
    C’est LE NOUVEL AMPHI
    “espace culturel, interculturel, intergénérationnel et participatif!”
    Nous aimerions avoir des contacts avec des personnes impliquées dans ce type de projet implanté dans une ville agricole (production frutière, capitale du chasselas) et touristique (cloître, tympan …inscrit au patrimoine mondial) de habitants. Une population en grande précarité économique, contrat de ville depuis 2015 et mairie Rassemblement National de 2020…!
    merci pour tout contact et infos.

  3. Vous pourriez contacter de part Malika Boudellal,Ethno-sociologue, qui peut vous aider car ce que vous dites est la mission de sa petite entreprise, petite mais avec de belles et grandes ambitions comme celles dont vous me parlez ici, et un beau travail! Ses coordonnées et contact sont sur Facebook et Messenger, mais je me permets de lui envoyer les vôtres afin qu’elle vous contacte. Merci encore de votre confiance et très belle année à vous!

  1. […] d’autres projets qui peuvent être le début de la  gentrification des villes (Avril 2018) :Tourisme et lieux culturels émergents                                         …– 3- Les notes de l’article complet de Françoise Lacotte,  extrêmement […]

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